Quand les enfants ne donnent plus de nouvelles, il est bon d’avoir un ami. Pour se rendre à la piscine. Déjeuner à la brasserie. Traverser avec une certaine quiétude les écrasantes journées d’été. Mais quand l’ami lui-même fini par faire défaut, l’existence devient périlleuse. D’autant plus périlleuse qu’on vieillit, qu’on est fragile et seul, et qu’on habite à Paris… sous les toits. Mais le coeur bat toujours. En attendant le jour où la force viendra à manquer, ou l’on choisira de ne plus ouvrir sa porte, on peut encore croire aux rencontres, et à l’amour.